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« JOURNALISTES, RAVALEZ VOTRE ARROGANCE ».Trump s'est montré un penseur politique plus fin que tous les produits recyclés de la classe politique, Travail pour tous et toutes, Soyez un bon exemple

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11/11 - APRÈS L’ÉLECTION DE TRUMP :

« JOURNALISTES, RAVALEZ VOTRE ARROGANCE ».

POUTINE: "l'élection de TRUMP, la reprise des relations entre la Russie et les États-Unis"

Après l'élection de Donald Trump, le président russe Vladimir Poutine s'est exprimé. Il a félicité le nouveau président des Etats-Unis et a évoqué la reprise des relations entre les deux pays.

https://www.youtube.com/watch?v=UOMxqBxs2ZE

Plus en détail :

Donald Trump: Les réactions de l'Allemagne, la Russie, Bruxelles, la GB, Israel, la Chine, la France - par Pujadas
https://www.youtube.com/watch?v=Nn7Oyy61JyQ

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DEBOUT LA FRANCE !
RÉVEILLEZ-VOUS !

"L'élection de Trump par les américains traduit le rejet du système qui les fait souffrir." (12mn)

"C'est une révolution"*9

https://www.youtube.com/watch?v=iMNdVvDaims
 

  1. Dupont-Aignan : "J'espère être le Donald Trump français" - 10/11 (21mn)

"Être sage, c'est se révolter, cela 'est pas incompatible"

"N'êtes-vous pas trop sérieux". Le journaliste a raison, je l'ai souvent dit Dans mes articles au sujet de Dupont Aignan et même je lui ai dit quand je l'ai rencontré pour lui parler de Keshe. D'un autre côté, il passe dans les médias grâce à son discours soft.

Super ce qu'il dit des élus à la fin de la vidéo !

https://www.youtube.com/watch?v=BdiJxWTaQiI

Pourtant ! Si les français étaient capables d'être aussi ouverts que les américains, moins frileux. Tout est possible, tout est réalisable pour les prochaines élections,.

Trump n'est pas ce qu'il est sans raison. Il a été un électrochoc, puis s'est un peu calmé, pour enfin se montrer présidentiable.

Dupont Aignan oublie Tauzin dans sa liste, mais je pense que Tauzin veut rester en coulisse car ils se connaissent et s'apprécient.
N. Dupont-Aignan. Un bon présidentiable qui saura bien s'entourer. "Notre pays doit redevenir un grand pays"

Son site :

http://www.debout-la-france.fr/

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  De Villepin sur l’élection de Trump : "la réaction d'Hollande me gêne"

http://www.dailymotion.com/video/x51hoaz_de-villepin-sur-l-election-de-trump-la-reaction-d-hollande-me-gene_news

De Villepin, que l'on a vu près de Poutine sur scène lors du au Club International Valdaï – 24 octobre 2014

https://www.youtube.com/watch?v=MPtifTPkCWQ

Son livre : "Mémoire de Paix pour temps de guerre" :

https://www.amazon.fr/M%C3%A9moire-temps-guerre-essai-fran%C3%A7ais-ebook/dp/B01M3VD139

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François Fillon : "il faut retrouver notre calme" après l'élection de Donald Trump

http://www.dailymotion.com/video/x51f87x_francois-fillon-il-faut-retrouver-notre-calme-apres-l-election-de-donald-trump_news

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MÉLENCHON - ÉLECTIONS AMÉRICAINES - VICTOIRE DE TRUMP

Mercredi 9 novembre 2016, Jean-Luc Mélenchon participait à une édition spéciale sur les élections américaines après la victoire de Donald Trump. Il a dénoncé ceux qui ignorent les aspirations du peuple et a affirmé qu'Hilary Clinton ne représentait pas les progressistes. 

https://www.youtube.com/watch?v=Kq5iJsBbBes

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Marine Le Pen: "L'élection de Trump est une bonne nouvelle pour notre pays" (1mn30)

Marine Le Pen a félicité, ce mercredi midi, Donald Trump pour sa victoire à la présidentielle américaine. "Ce qui s'est passé cette nuit n'est pas la fin du monde mais la fin d'un monde (…) La décision du peuple américain doit s'interpréter comme la victoire de la liberté", a affirmé la présidente du Front national. Elle a également soutenu que "l'élection de Donald Trump est une bonne nouvelle pour notre pays".

http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/marine-le-pen-l-election-de-donald-trump-est-une-bonne-nouvelle-pour-notre-pays-883611.html

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Alain Escada, un belge qui défend la chrétienté - Une vraie leçon pour l'Europe entière et surtout pour la France(29mn)

https://www.youtube.com/watch?v=XGpUw3FyAN0

* Alain Escada, né le 16 mai 1970 à Bruxelles, est un militant d'extrême droite belge ; il est, depuis 2012, président de l'association catholique traditionaliste Civitas.
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Victoire de Trump : du jamais-vu depuis la création des États-unis, en 1776

Toby Melville Source: Reuters

Donald Trump a été élu président des États-unis, alors qu'il était un ennemi de toute la classe politique américaine. L'historien John Laughland analyse ce qui n'est rien d'autre qu'un «séisme politique».
 

En anglais, le mot «trump» signifie «la carte maîtresse», celle qui l'emporte sur toutes les autres. Jamais le candidat républicain aux élections présidentielles n'aura autant mérité son nom. Vainqueur des élections présidentielles non seulement contre les prédictions des sondages, mais aussi contre une grande partie de son propre parti, Trump est le premier véritable outsider à être élu à la fonction suprême américaine depuis la création des États-unis en 1776. 

Le 45e président sera le premier depuis plus de deux siècles à n'avoir jamais occupé aucune fonction publique avant son élection. Tous les autres présidents, sans exception, avaient été hommes politiques, militaires ou diplomates avant de se faire élire à la Maison blanche.

Il aura remporté la victoire en déclarant ouvertement la guerre à la quasi-totalité de la classe politique américaine

La victoire de Trump est donc historique dans le vrai sens du terme. On parle souvent, lors de la victoire d'un candidat, du changement qui s'annonce et d'une nouvelle ère. Ce ne sont souvent que des slogans concoctés par des vieux pros de la politique. Cette fois, c'est vrai. Non seulement le président Trump sera arrivé au pouvoir en venant de l'extérieur du Beltway, le boulevard périphérique de Washington qui incarne le monde enchanté des puissants ; mais aussi il aura remporté la victoire en déclarant ouvertement la guerre à la quasi-totalité de la classe politique américaine.

Dans ces conditions, parler de «séisme politique» ne semble guère une exagération. Avec la victoire de Trumpc'est tout un système politique qui est battu. La classe politique américaine s'est avérée incapable de se reproduire. Ce n'est pas un des siens qui va désormais gouverner le pays, mais au contraire un des ses ennemis. La victoire de cet «outsider» est d'autant plus flagrante qu'elle représente la défaite d'une femme qui, ayant été sénateur, ministre et ancienne première dame, était la plus parfaite incarnation de le continuité malgré la fausse nouveauté qu'aurait constitué son sexe.

Il a brisé, les un après les autres, tous les tabous que la politique américaine a érigés pendant les décennies récentes

Trump incarne la nouveauté non seulement dans sa personne mais aussi par son idéologie politique. Tel un éléphant dans un magasin de porcelaine, il a brisé, les un après les autres, tous les tabous que la politique américaine a érigés pendant les décennies récentes.

Il est contre l'immigration là ou tant la gauche bobo des démocrates que les grandes multinationales, plutôt à droite, sont pour ;

il est contre le libre-échangisme devant lequel tout le monde plie le genou depuis les années quatre-vingts ;

et il est contre le néo-conservatisme en politique étrangère, cette hydre qui domine les esprits à gauche comme à droite et qui a abouti à des guerres menées par les États-unis sans interruption depuis la fin de la guerre froide.


Elément souvent oublié: Trump est moitié écossais par sa mère originaire de Stornoway. «Le Donald» - prénom presque caricatural de l'Ecossais typiquement typique - a donc un lien charnel et affectif avec le vieux continent que peu de ses prédécesseurs ont eu. Certes, un Reagan ou un Clinton ont pu revendiquer une ascendance irlandaise ou anglaise, mais c'était quelque peu factice. Chez Trump, en revanche, le sang européen coule réellement dans ses veines. C'est peut-être à cause de cela que, malgré son patriotisme incontestable, il croit moins à cette idéologie dangereuse de l'«exceptionnalisme» américain que d'autres.

C'est précisément ici que la nouveauté de Trump saute le plus aux yeux. Dans une campagne électorale qui a rompu avec tous les précédents, l'un des aspects les plus surprenants était la présence inattendue de la Russie dans le débat - comme repoussoir, certes. La Russie était accusée d'être à l'origine de fuites au sein de l'appareil du Parti démocrate, le candidat Trump a été attaqué parce que le président Poutine avait exprimé une certaine admiration à son égard.

Trump s'est montré un penseur politique plus fin que tous les produits recyclés de la classe politique

Quand la Russie est ainsi invoquée, en Europe comme aux États-unis, ce n'est pas seulement la Russie qui est en cause. C'est aussi - et surtout - le projet de consolider la politique de domination américano-européenne sur le monde. Malgré la dominance économique incontestable de la Chine, il n'y a que la Russie qui, sur le plan géopolitique, puisse contester la super-puissance américaine.

Or, Trump a dit a plusieurs reprises qu'il préférait s'allier avec la Russie contre l'État islamique que de faire le contraire. Avec cette phrase, maintes fois répétées, Trump s'est montré un penseur politique plus fin que tous les autres produits recyclés de la classe politique tel le chef de clan qui est Madame Clinton. Indépendamment de ce qu'on pense de la Russie, l'évidence saute aux yeux, en Syrie et ailleurs, que l'on ne peut pas se battre sur deux fronts - contre Daesh et contre Bachar, par exemple. La politique, c'est le choix entre l'ami et l'ennemi. Dès lors qu'on a désigné l'ennemi, tous les autres ennemis de cet ennemi deviennent, politiquement, des amis.
 

Le plus grand paradoxe de Trump donc, à première vue, c'est que cet homme venu de nulle part sera peut-être un plus grand homme d'État que ne l'aurait été son adversaire, pourtant militante politique depuis sa jeunesse. La femme qui a perdu plusieurs états clés qu'Obama avait gagnés entrera dans l'histoire comme la dernière des Mohicans, la représentante d'une classe politique et d'un système politique finissants. Elle aura été balayée par ce dont elle incarnait le contraire - par le retour du politique.

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«Je n’ai jamais vu rien de pareil dans ma vie !» : Larry King à RT sur la présidentielle américaine

Cette course à la Maison Blanche a été la plus marquée par le dénigrement depuis quasiment un siècle, explique le légendaire américain Larry King. Selon lui, c'était la première fois que des candidats se détestaient si sincèrement.

«Je n’ai jamais vu rien de pareil dans ma vie !», s’est exclamé Larry King, fameux présentateur américain et animateur de l’émission Politicking, dans le studio de RT où il revenait sur les élections présidentielles avec l’animatrice Ammera David.

Larry King, qui a interviewé chaque président depuis le mandat de Nixon, a comparé la course présidentielle américaine dans laquelle Hillary Clinton et Donald Trump se sont «critiqués l’un l’autre et ont affublé l’un l’autre d'expressions terribles» avec celle qui opposa John Quincy Adams et Stonewall Jackson en 1824. Une élection qui, selon lui, avait été «la pire jusqu’à présent». «J’ai vu nombreuses élections mais je n’ai jamais vu des élections avec un tel niveau de dénigrement», a déploré Larry King.

A la question de la présentatrice, si c’était à cause de Donald Trump, Larry King a répondu que ce dernier était bien à l'origine de tout cela. «Il n’aimait personne parmi les Républicains contre qui il se trouvait dans le cadre des primaires : "Vous n’avez pas d’énergie", "Vous avez de petites mains"», a expliqué Larry King, faisant référence au scandale de mars 2016, quand Donald Trump et son rival Marco Rubio s'étaient écharpés, Rubio critiquant Trump pour avoir des petites mains. «Je vous garantis qu'il n'y a aucun problème à ce sujet», avait répondu Trump au sujet de son anatomie et en renvoyant Rubio face à son manque de dynamisme.

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Que retenir de la campagne électorale victorieuse de Donald Trump?

La victoire de Donald Trump n’est pas une victoire individuelle. Il ne s'agit pas non plus de la victoire d'un homme. Lors de la campagne électorale, le candidat républicain a montré à de nombreuses reprises qu'il pouvait s'adapter à la situation et s'est ainsi montré le meilleur porte-parole du peuple, plus capable que sa rivale de matérialiser les espérances de ses concitoyens. La victoire de Donald Trump est la victoire de toute une philosophie qui doit être étudiée pour comprendre comment il est parvenu à conquérir la sympathie de millions d'Américains.
 

Patriotisme

Pour tous qui sont nés aux États-unis, le président républicain souhaite revenir sur le droit du sol qui permet l’obtention de la nationalité américaine. De plus, il affirme vouloir réduire les frais universitaires et les dettes des étudiants en échange «d’allègements d’impôts fédéraux» pour les établissements concernés.

 
Avec sa femme

Valeurs familiales traditionnelles 

Pour Donald Trump, une famille, c'est une femme et un homme et leurs enfants qui aiment célébrer Noël chez leurs grands parents. Il leur a promis que s'il devenait président, ils pourraient déduire de leurs impôts les sommes allouées à la garde des enfants. Concernant le congé maternité, qui n’existe pas aux Etats-Unis de façon universelle, il propose d’accorder six semaines de congé payés.

«Les gens les plus heureux que j’aie jamais vus sont ceux qui ont une famille et de réelles valeurs. Les gens qui ont une épouse qu’ils aiment et des enfants sont des gens heureux», a-t-il déclaré.
 

Travail pour tous et toutes 

En dépit des tensions avec son parti, lors de sa campagne électorale, Donald Trump a promis de travailler avec le Congrès pour introduire et pousser à l’adoption d’un plan économique créant 25 millions d’emplois sur dix ans, grâce notamment à des baisses d’impôt substantielles pour la classe moyenne et les entreprises. Il a également promis de consacrer 1 000 milliards de dollars au développement des infrastructures en s’appuyant notamment sur des partenariats public-privé et des baisses d'impôts. Le taux d’imposition fédéral le plus élevé serait abaissé de 39,6% à 33%. L’impôt sur les sociétés serait abaissé à 15% (contre 35% actuellement) et la taxe foncière supprimée.
 

Medecine

Quant aux prix des médicaments, il a promis d'autoriser les importations parallèles, autrement dit laisser entrer sur le marché américain les produits qui sont vendus moins cher à l'étranger.

Armes

En ce qui concerne la possession d'armes, il a promis de supprimer «dès la première heure de son entrée en fonction» les décrets sur le renforcement des réglementations. Il estime en effet que «le deuxième amendement de la Constitution est clair. Le droit du peuple de posséder une arme ne doit pas être transgressé». Pour lui, la détention d’armes à feu est «un droit à l’autodéfense donné par Dieu».
 

Anti-globaliste

Pendant plus d’une année, Donald Trump a mis en avant les questions d’immigration et de sécurité. La notion d'un monde où les nationalités n’existeraient pas n’est pas pour lui. Le président élu ne se laisse pas apitoyer par le sort des hommes, jeunes, arrivés d’Afrique du Nord ou du Salvador dans des pays tiers sous prétexte d’être des victimes de guerres et de la crise économique.

La promesse la plus symbolique du président élu est l’édification d’un mur de 1 600 kilomètres le long de la frontière mexicaine pour arrêter l’immigration illégale. De plus, la facture de la construction de ce mur devra être envoyée au Mexique, avait précisé le candidat Trump.

Ce projet a suscité une telle controverse que certains médias l'ont traité de nationaliste étant donné qu'à l'heure actuelle, moins de 11 millions d’immigrés clandestins, dont la majorité vient effectivement du Mexique.

«Nous allons créer une force chargée des déportations, avait-il déclaré. Nous n'avons pas le choix ! Nous ne savons même pas combien ils sont : 8 millions ? 20 millions ? Nous n'avons aucune idée du nombre d'illégaux qu'il y a dans notre pays. L'immigration illégale nous coûte 200 milliards par an», avait-t-il encore précisé. 

Les solutions de Trump pour tous les problèmes s'inspirent de la loi des affaires : une peine de prison fédérale de deux ans minimum sera imposée à tous les immigrants clandestins expulsés qui reviennent aux Etats-Unis car pour le milliardaire, il ne s'agit que de «criminels, trafiquants de drogue, violeurs».
 

Aucune courbette politique

En décembre dernier, Barack Obama appelait les Américains à rejeter toute hostilité envers l'islam. Mais Donald Trump prenait le contre pied de son prédécesseur en annonçant qu'il comptait interdire l'entrée du territoire américain aux musulmans pour lutter contre le terrorisme sans sembler se soucier un instant des conséquences que pourrait avoir la mise en oeuvre de cette décision. Au lendemain de son élection, cette proposition avait disparu du site internet de Donald Trump.

Le tact et la délicatesse n'étaient pas non plus le fort du candidat républicain, comme ces différentes expressions le montrent :

«Une source "extrêmement crédible" a appelé mon bureau et m’a dit que l’acte de naissance de Barack Obama était est un faux», affirmait-il dans un tweet posté le 6 août 2012. 

«Je n’ai jamais vu une personne mince qui buvait du Diet Coke.»

«Je pense que la seule différence entre moi et les autres candidats, c'est que je suis plus sincère et que ma femme est plus belle.»

«J’ai déjà dit que si Ivanka n’était pas ma fille, il serait possible que je sorte avec elle.»

Mais ce côté plutôt direct n’a pas empêché la majorité des Américains de voter pour lui.
 

Soyez un bon exemple

Donald Trump a réalisé un «rêve américain» au moins trois fois dans sa famille, même s’il est né dans une famille aisée. Ancien élève de l’acadé¬mie mili¬taire, diplômé de la Wharton School of Finance de l'univer¬sité de Penn¬syl¬va¬nie, il a commencé à travailler chez son père qui avait une entreprise spécialisée dans l'immobilier.

Ayant appris les rouages du métier, il a ouvert sa propre affaire. En 1983, il a construit son premier gratte-ciel, la Trump Tower. Une décennie plus tard, lors de la crise immobilière de 1990, il a fait face à des dettes qui s'élevaient à plusieurs milliards de dollars et a même frôlé la faillite. Mais le magnat de l'immo¬bi¬lier est parvenu à tirer son épingle du jeu et à rebondir. 

 Parlez de ce qui intéresse vraiment les Américains

es derniers temps, les médias américains se fixent sur les affaires qui concernent les élites, les migrants, sur les relations entre Hillary Clinton et son époux. Donald Trump s'est mis à parler des sujets qui touchent vraiment les cœurs de ses concitoyens. Il a par exemple promis de s’attaquer à la corruption à Washington, en limitant le nombre de mandats des élus du Congrès, en gelant les embauches de fonctionnaires fédéraux ou en interdisant pour une durée de cinq ans les personnels de la Maison Blanche et du Congrès d'entamer des activités de lobbyiste.


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